Le premier commentaire du président biélorusse sur les manifestations dans son pays

Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a déclaré que les émeutes qui ont éclaté dans son pays sont menées grâce à l'argent que certains pays européens envoient au Bélarus, afin de continuer à déstabiliser la sécurité du pays.

pointu Alexandre LoukachenkoLors de sa rencontre avec le Conseil de sécurité, ce matin, mercredi, de nombreux pays occidentaux ont déclaré sans équivoque leur responsabilité dans les flux d'argent qui sont entrés dans son pays, afin de soutenir les émeutes.

Le président biélorusse commente les manifestations

Le président biélorusse a expliqué que le gouvernement, bien qu'il soit conscient de ce complot, ne peut pas retracer le chemin de ces fonds, car ils entrent dans le pays en espèces, et non par l'intermédiaire des banques.

Le président biélorusse a envoyé un message aux pays européens, la nécessité de se préoccuper de leurs propres problèmes, car la France aime résoudre la crise des gilets jaunes, et l'Amérique devrait prêter attention aux manifestations et aux émeutes, au lieu de prêter attention à ce qui se passe en Biélorussie.

Il convient de noter que des manifestations et des émeutes ont éclaté en Biélorussie le 80.1 de ce mois, à la suite des élections remportées par Alexandre Loukachenko, après avoir remporté XNUMX %.

De leur côté, les forces de sécurité ont affronté les manifestants avec plus de fermeté et de force, et ont tiré des gaz lacrymogènes, des canons à eau et des balles en caoutchouc, en plus d'arrêter plus de 6 XNUMX personnes.

Le président biélorusse accuse la France et l'Amérique

Le ministère britannique des Affaires étrangères avait annoncé le rejet total par la Grande-Bretagne des résultats de ces élections, expliquant qu'il exigerait une enquête urgente, par l'intermédiaire de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, afin de découvrir les failles et les lacunes sur lesquelles ces élections étaient fondées, ce qui rendu les résultats de son point de vue injustes, et ce qui découlait aussi de la répression des protestations, qui était une objection aux résultats.